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La Veillée des mots dits 2021

La Veillée des mots dits 2021

La 7e édition de notre populaire soirée littéraire, « La Veillée des mots dits », a été présentée le jeudi 3 juin sur la page Facebook du Collège.
Des élèves de 3e, 4e et 5e secondaire y ont interprété des créations authentiques alors que poésie, compositions personnelles et slams étaient à l’honneur.
Nous avons de plus eu le bonheur d’y accueillir un ancien élève, Jamil Assoum, lui-même lauréat à deux reprises de “La Veillée des mots dits” lors de son passage au Collège.
Maintenant rappeur professionnel, J.A.M, grand gagnant de la 1re édition du concours de rap “ La fin des faibles”, nous a fait le plaisir de présenter quelques compositions.

Partenariat avec Moisson Rive-Sud

Partenariat avec Moisson Rive-Sud

Quand deux organismes s’unissent pour assurer la sécurité alimentaire d’une communauté : Partenariat entre Moisson Rive-Sud et le Collège Notre-Dame-de-Lourdes 

Le 27 avril dernier, des élèves du Collège Notre-Dame-de-Lourdes ont fait don de leur toute première récolte maraîchère issue du projet Jardin pédagogique et hortithérapie du Collège. Les jeunes jardiniers ont réussi à récolter 44 salades et près d’une vingtaine de plants de fines herbes afin de les offrir à l’organisme Moisson Rive-Sud. Un échange de procédés qui bénéficie autant à la communauté qu’aux élèves qui en ressortent enrichis et fiers de leur contribution.

Augmenter la motivation scolaire

L’instigatrice de cette initiative, madame Odette Plante, enseignante de science, a constaté un très grand engouement pour l’horticulture et la multiplication des plants parmi les élèves de l’école.

« Ce projet en plus d’aider les élèves à développer leurs connaissances en science a un impact bénéfique sur leur santé mentale. Nous avons une responsabilité auprès de notre communauté et nous devons transmettre à nos jeunes les valeurs d’engagement et d’ouverture », explique madame Plante. « Nous sommes fiers de venir en aide à un organisme de la région et ainsi faire notre part pour la communauté. Par leur implication dans leur milieu nos élèves démontrent qu’ils peuvent accomplir de grandes choses en posant de petits gestes », mentionne madame Isabelle Marcotte, directrice générale du Collège Notre-Dame-de-Lourdes.

« Ces élèves, soutenus par Madame Plante, sont les pionniers de ce projet scolaire innovant qui permet, à notre banque alimentaire, d’offrir des produits locaux pleins de fraicheur à nos organismes et ainsi avoir un impact notoire sur plus de 18 000 bénéficiaires », mentionne Tifanie Brazier, conseillère principale, développement philanthropique chez Moisson Rive-Sud. Elle ajoute : « avec ce projet, le collège et Madame Plante sèment afin de former les philanthropes de demain et c’est tout à leur honneur ».

Les initiatives de soutien se poursuivent : un défi lancé aux écoles de la région

En plus d’être initiés à l’horticulture, les élèves concernés ont assisté à une rencontre virtuelle avec Moisson Rive-Sud afin de les sensibiliser aux besoins alimentaires, plus importants qu’à l’habitude, des familles de la région.

C’est ainsi qu’une grande collecte de denrées non périssables et de produits d’hygiène s’est mise en place au Collège. Les élèves lancent d’ailleurs le défi aux autres écoles de la région pour mettre la main à la pâte afin d’assurer la sécurité alimentaire des citoyens de la Rive-Sud. Ensemble, ils souhaitent faire la différence dans la vie des familles en difficulté, plus particulièrement en cette période incertaine.

 

 

 

Semaine contre l’homophobie

Semaine contre l’homophobie

Une fois de plus cette année, NDL a souligné la Semaine contre l’homophobie et la transphobie.

Plusieurs activités symboliques ont été organisées dans l’école à cette occasion : affichage des drapeaux de la communauté LGBTQ2S, port de collants et de macarons « Je soutiens la diversité sexuelle/Non à l’homophobie », tirage de bonbons colorés et mise en valeur de livres thématiques à la bibliothèque.

De plus, dans le cadre des ateliers d’éducation à la sexualité, les élèves de 2e secondaire ont réalisé des affiches, des drapeaux, des poèmes et des vidéos en soutien à la communauté.

NDL est reconnu pour son milieu accueillant et ouvert d’esprit. Notre collège est d’ailleurs parmi les premiers à avoir créé un groupe LGBTQ, en 2014.

Nous présentons ici la naissance de ce beau projet!

(Notez que la vidéo a été tournée à l’ère pré-COVID à l’hiver 2020)

Longueuil-Tunisie : vivre le PÉI!

Longueuil-Tunisie : vivre le PÉI!

Depuis 25 ans que nous enseignons le programme d’éducation internationale, les enseignants du Collège Notre-Dame-de-Lourdes ont développé une expertise qu’ils partagent régulièrement avec la communauté PÉI. Depuis quelques semaines, Mme Karine Savoie, enseignante de français en 2e secondaire, est consultante pour une collègue dans une école IB en Tunisie. Elles ont eu l’idée de réaliser une entrevue afin que leurs élèves échangent à propos de leurs intérêts et leurs pratiques à l’école. La rencontre a eu lieu ce matin, avec les élèves du groupe 25, et s’est révélée être une expérience fort enrichissante. Elle aura assurément une suite puisque plusieurs élèves ont manifesté le souhait de correspondre entre eux.
 
Ils ont pu partager sur les projets qui les ont le plus touchés, comme celui de « Surfer sur la vague » où ils devaient communiquer un message positif aux gens, et ont pu s’inspirer des pratiques tunisiennes dans leurs prochains projets. Ils ont aussi été témoins des différences de leur situation (tant géographique que culturelle). Il s’agit d’une preuve que le PEI fait tomber les frontières et que la philosophie d’ouverture sur le monde est bien vécue, et ce, peu importe où l’on se trouve.
Collège Notre-Dame-de-Lourdes
Projet de bénévolat – CHSLD La Prairie

Projet de bénévolat – CHSLD La Prairie

Les 23 élèves du groupe titulaire de Mme Marie-Claude Massé-Lord ont produit un spectacle de variétés pour les résidents du CHSLD de La Prairie.

Sous la supervision de leur enseignante, ces élèves de 2e secondaire ont entièrement réalisé le spectacle en participant à toutes les étapes, de la création des numéros jusqu’à la captation vidéo de l’événement.
Chant, musique et danse, nos jeunes artistes ont offert de magnifiques performances en y mettant tout leur cœur.

Afin d’offrir une expérience complète de cabaret-spectacle, les élèves ont même préparé des sacs de collations remplis de petites douceurs pour les spectateurs. Ils ont de plus offert aux résidents des dessins personnalisés représentant les passions de chacun d’entre eux.

Un grand merci à Mme Audrey Gélinas, technicienne en loisirs du CHSLD, pour sa complicité et son ouverture dans ce projet rassembleur.

On souligne la belle idée et tout le travail de Mme Massé-Lord, qui, appuyée par M. Julien Larrivée, animateur de vie étudiante, et Mme Sarah Lanthier, technicienne en éducation spécialisée, aura permis à ses élèves de vivre cette expérience de bénévolat assurément enrichissante à plusieurs égards.

Bravo chers élèves du groupe 23 : votre talent, votre créativité et votre générosité ont assurément permis à ces résidents de passer un beau moment grâce à vous!

 

Passer le flambeau!

Passer le flambeau!

Enseignante de mère en fille : passer le flambeau des sciences!

Mme Sylvie Thorn, enseignante de science au Collège, partira pour une retraite bien méritée à la fin de la présente année scolaire, en juin. Elle aura transmis sa passion des sciences à des centaines d’élèves en carrière, y compris à sa fille Pascale, qui a suivi ses traces et qui est en voie de terminer sa formation universitaire… en enseignement des sciences au secondaire!

Celle qu’on appelle déjà « Mme Thorn 2.0 » a récemment été appelée à combler un remplacement en science pour quelques semaines, ici même au Collège. Ce n’est pas tous les jours qu’une enseignante a le privilège de travailler ainsi aux côtés de sa fille, au sein d’une même école, dans la même discipline! Rencontre avec deux femmes passionnées!

Comment avez-vous réagi lorsque vous avez su que vous deviendrez des collègues pour quelques mois? 

Pascale Thorn-Côté : Lorsqu’on m’a téléphoné pour me proposer cette occasion unique d’un remplacement de quelques semaines, j’ai tout de suite accepté! Ensuite, après avoir raccroché, j’y ai repensé une 2e fois et je me suis dit : est-ce que je veux travailler avec ma mère? 

Sylvie Thorn : J’avais proposé son nom à Mme Leclair [directrice des services pédagogiques au Collège], pour faire de la suppléance au besoin. Dès le lendemain, elle me revenait, car on cherchait quelqu’un pour combler une demande soudaine de remplacement. Moi aussi je me suis posé la question : “est-ce que je veux travailler avec ma fille?” Finalement, c’est fantastique!

Pascale : À l’école on agit plus comme collègues, contrairement à la maison, mais ça reste ma mère!


Comment s’est passée la transition entre votre relation mère-fille à celles de collègues?

Sylvie : À son arrivée, j’étais plus nerveuse qu’elle! Au début, j’avais quelques appréhensions : est-ce qu’elle sera capable de faire ceci, cela? Finalement, elle se débrouille super bien. Dès ses premiers cours, ça a très bien été pour elle.

Pascale : Oui, elle était plus stressée que moi! Personnellement, c’est sans doute grâce au fait qu’elle ait été là que j’ai pu entamer cette expérience en étant moins stressée. Je savais que si j’avais des questions, je pouvais me tourner vers elle pour n’importe quel sujet. C’est vraiment bien d’avoir quelqu’un à qui demander conseil, sans gêne. C’est un peu un maître de stage, sans le stress d’être noté ou évalué. C’est une belle façon de commencer pour moi. Jamais on n’aurait pensé pouvoir vivre cela, enseigner ensemble!


Qu’est-ce qui a fait que vous avez choisi de suivre les traces de votre mère et d’aller en enseignement, et qui plus est, en enseignement des sciences?

Pascale : En fait, ce n’était vraiment pas le plan au début! Quand j’étais adolescente, je ne voulais tellement pas être enseignante, encore moins en sciences! Puis, j’ai commencé à faire du tutorat : j’adorais cela. J’adorais enseigner, transmettre un savoir.

Puis j’ai découvert les sciences par la biologie en 3e secondaire. J’adore la biologie! Tout ce qui est écologie, nature, j’adore ça. Mais jusque là, je n’aimais pas vraiment les sciences. Probablement parce qu’on en parlait beaucoup à la maison et que j’essayais de me distancier un peu de cela.

Sylvie : Elle m’avait dit “Jamais je ne ferai comme toi. Jamais”! (rires).

Pascale : Finalement, en grandissant, je me suis dit que c’est probablement ce que j’allais faire dans la vie. Il y a beaucoup d’autres choses que j’aime, mais l’enseignement, ça me va bien.


Et pourquoi les sciences?

Pascale : J’adore les sciences! La recherche, ce n’était pas quelque chose qui m’intéressait. Transmettre les sciences, pour moi, c’était par contre vraiment important. L’amour des sciences dépend beaucoup de la façon dont on nous les apprend. Je me dis que si on est capable de bien le transmettre, on permettra à d’autres personnes de les aimer aussi. 


Mme Thorn, comment avez-vous réagi quand vous avez compris que Pascale suivrait vos traces ?

Sylvie : J’étais très étonnée, vraiment surprise..! Mais j’étais contente! Bien sûr, au fil des années, elle m’a vue travailler aussi. Souvent je présentais mes cours à mes enfants. Elle intervenait, faisait part de ses opinions, il y avait déjà beaucoup de son intensité. Je voyais cela se développer… J’étais surprise au début, mais c’était évident qu’elle était dans son élément.

 

Et vous Mme Thorn, pourquoi avez-vous choisi l’enseignement, et l’enseignement des sciences?

Sylvie : Moi, j’ai été enseignante beaucoup plus tard dans ma carrière. J’ai commencé en biologie –  j’ai une maîtrise en sciences volet laboratoire – et j’ai travaillé pour Environnement Canada sur le terrain. Je me suis ensuite tournée vers la sensibilisation auprès du public, puis, cela m’a mené à vouloir enseigner.


Qu’est-ce que vous croyez qui vous unit comme enseignantes et qui vous différencie? Qu’est-ce qu’il y aura de commun dans ce que vous proposez à vos élèves?

Pascale : À part notre nom… 

Sylvie : Elle s’appelle Mme Thorn 2.0!!

Pascale : J’ai rarement vu enseigner ma mère. J’ai vu ses présentations à la maison, son matériel, ses examens, mais je ne l’ai pas vraiment vu enseigner. Et adolescente, je refusais qu’elle m’enseigne quoi que ce soit! Je sais par contre que nos notes de cours sont semblables, mais au niveau de l’enseignement, je ne saurais dire.

Sylvie : Moi, je l’ai vu enseigner! Je dirais que c’est dans la manière d’enseigner, d’expliquer, de vouloir faire aimer les sciences. Parce que c’est ardu, bien souvent, et en tentant de rendre cela accessible, avec le désir de bien faire comprendre, de rendre cela dynamique, je trouve qu’on se ressemble beaucoup là-dedans. Pascale entreprendra aussi bientôt un autre projet de stage, en communauté autochtone.  

Pascale : Dans le nord du Québec. Je vise la communauté de Baie-James-Chisasibi. Parce qu’ils ont des projets de serres à l’école et je trouve que l’autonomie alimentaire dans les communautés autochtones, c’est important et je voulais participer et m’impliquer dans ce projet.

Sylvie : J’étais dans le communautaire avant de commencer dans l’enseignement : sensibilisation, aménagement des berges, introduction des poissons dans les rivières, j’étais “terrain”… Je vois qu’elle s’en va aussi un peu vers l’application des sciences dans la vie du quotidien. Je trouve que c’est une voie, une approche formidable pour le futur, pour les jeunes d’apprendre à transférer ces notions, dans du concret. Je la vois se profiler un peu plus là-dedans.

 

Qu’est-ce que vous croyez qui sera différent pour elle dans les défis de sa carrière?

Sylvie : L’ordinateur, les technologies! Personnellement, j’apprends, mais ce n’est pas facile… les Zoom… ouf! Quand j’ai commencé avec mes visios, j’appelais Pascale et je lui disais, “j’ai un problème, je fais quoi!!” (rires) Ici au Collège, les élèves auront bientôt chacun un ordinateur en classe. On va commencer à intégrer de nouvelles choses, il y a plein de trucs qu’on peut faire en science, sauf que je me sens un peu déconnectée par rapport à tout cela. J’ai fait beaucoup d’efforts cette année! Mais Pascale est beaucoup plus avancée, c’est cela qui va beaucoup nous différencier. Toute l’approche des techniques de transmission, de recherche, de partage d’information avec le monde entier. Aussi, elle travaille sur des jeux éducatifs, elle a d’ailleurs eu une bourse pour faire un jeu de sciences!

Pascale : L’enseignement c’est quelque chose que j’aime, que je veux faire, qui fera partie de ma carrière, mais ce n’est pas nécessairement cela que je veux faire toute ma vie. J’ai beaucoup d’ambition et j’aimerais entre autres travailler pour inclure plus de notions concernant l’environnement dans les écoles. J’ai parlé plus tôt des communautés autochtones, je souhaiterais aussi qu’on aborde plus le sujet dans les programmes de formation pour les enseignants. Ça s’en vient, il y aura une compétence à l’Université de Sherbrooke, sur la transposition des savoirs traditionnels, en savoirs scientifiques. Je trouve ça hyper important. J’aimerais beaucoup m’impliquer dans ce domaine, faire une maîtrise. J’ai beaucoup d’idées et d’ambitions, on verra où tout cela mènera!


Mme Thorn, comment souhaitez-vous à Pascale de vivre sa carrière?

Sylvie : On en discute beaucoup, par rapport à tous ses objectifs. Je crois que c’est bien de se poser un peu. Elle va vite, elle veut aller loin et vite! Je lui dis de se poser, d’être prête, d’aller un peu moins vite, mais je pense qu’elle est prête pour expérimenter tout ça.

Pascale : C’est un peu le reflet de nos générations. Je veux que ça aille vite, je veux que ça avance rapidement, la sienne c’est un peu plus, “on va se poser, former la petite famille, avoir la petite maison”… c’est vraiment le reflet de nos générations!

 

Mme Thorn, à l’aube de la retraite, quel bilan faites-vous de votre carrière d’enseignante?

Sylvie : Ça a été fantastique, tout un apprentissage! Quand j’ai décidé d’être enseignante, je n’avais aucune expérience, je me suis lancée! Je suis arrivée dans une école et j’ai dit “Je veux travailler comme enseignante” : on m’a répondu “Il y a des étapes, madame…”!
J’avais une maîtrise en biologie, mais pas en enseignement. Je suis donc retournée à l’université faire ma maîtrise qualifiante. Je vois la fin toute en beauté, j’ai réalisé ce que je voulais faire. C’était mon rêve d’enseigner. J’ai expérimenté ce que je voulais faire. Je suis très contente de mon parcours.


Que croyez-vous que vous laissez à NDL?

Sylvie : L’amour des sciences, je crois.

Pascale : Ton Projet papillons!

Sylvie : Oui! mon Projet papillons*! Ça, je trouve ça dommage de ne pas avoir pas pu le réaliser une dernière fois. Parce que ça fait partie de moi, de mon amour de la biologie, de mes expériences de travail sur le terrain, que j’ai amenées ici et mis en pratique pour mes groupes.


En terminant, si on aborde le sujet des femmes et des sciences, croyez-vous qu’il y a plus de relève, de femmes intéressées, qui se dirigent en science, est-ce encore difficile pour elles?

Pascale : De ce que j’ai observé à l’université, tout ce qui est biologie, biochimie, on trouve plus de femmes. Mais dans les sciences informatiques, en robotique, il y a encore plus d’hommes. Mais j’imagine par rapport à ce que ma mère a vécu, il y en a surement beaucoup plus.

Sylvie : À mon époque, en biologie, il y en avait beaucoup, oui, mais ça s’arrêtait au baccalauréat. Pour la maîtrise, très peu de femmes s’y rendaient. Moi, j’étais la seule de ma cohorte. Il n’y avait pas de femmes qui dépassaient le baccalauréat. Il fallait défoncer les portes pour aller en maîtrise avec des sciences, des sciences appliquées, des sciences expérimentales. Il n’y avait presque pas de femmes. J’imagine qu’il y en a plus de nos jours. 

Depuis que j’ai commencé, tant dans l’éducation populaire qu’en classe, pour moi, c’est important que les filles aiment faire des sciences et qu’elles ne se sentent pas moins capables ou que les garçons. Ça leur appartient aussi. Je mets beaucoup d’efforts pour ça.


Manifestement, vous avez réussi, et ce, même au sein de votre famille!

Félicitations, Mme Thorn, pour cette belle et riche carrière, vous aurez été un beau modèle!
On souhaite la meilleure des chances à Mme Thorn-Côté, la Mme Thorn 2.0, et on lui souhaite une longue carrière à la hauteur de toutes ses idées, son énergie et ses ambitions!


*Chaque année, les élèves de 2e secondaire du cours de sciences de Mme Thorn travaillent pendant plusieurs semaines sur le “Projet papillons”. Les élèves créent de magnifiques volières à papillons dans lesquelles ils déposent des chrysalides, après avoir observé et analysé l’évolution de leurs chenilles. Ils distribuent ensuite les volières partout dans l’école et les papillons finissent par naître aux 4 coins du Collège dans leurs colorés habitats temporaires. Ils sont finalement libérés tous ensemble lors d’une grande envolée au printemps!

Un panel politique inspirant!

Un panel politique inspirant!

Le 26 avril dernier, deux jeunes figures politiques sont venues parler d’engagement, de passion et des défis de notre époque, avec des élèves de 3e et 5e secondaire. Mme Catherine Fournier, députée provinciale de Marie-Victorin (comté du Collège), et M. Jonathan Tabarah, conseiller municipal et président du conseil de ville de Longueuil, ont ainsi généreusement répondu à l’invitation lancée par M. Alvaro Cueto, enseignant d’histoire au Collège.

Les questions, entièrement préparées par les élèves, étaient d’actualité et ont permis aux deux élus de discuter et d’échanger avec quatre jeunes panélistes. On y a notamment abordé la question des défis en politique basés sur l’âge, le sexe et les convictions, en plus de parler des enjeux de notre système électoral, des impacts des médias sociaux sur la vie politique et des différents mouvements sociaux au cœur de l’actualité.

« Notre priorité était de laisser toute l’autonomie aux élèves. Ils ont préparé leurs questions en fonction de leurs valeurs et leurs préoccupations. Nous sommes fiers de leur curiosité, leur esprit critique et leur engagement », souligne M. Alvaro Cueto, organisateur de l’activité.

L’événement, d’une durée 90 minutes, a été enregistré afin d’être présenté à tous les groupes de 3e secondaire. Les élèves présents ont beaucoup apprécié leur rencontre avec ces deux personnalités fort généreuses, qui se sont elles-mêmes engagées très tôt en politique.

Rappelons que Mme Catherine Fournier est devenue la plus jeune femme députée de l’histoire de l’Assemblée nationale du Québec, lorsqu’elle a été élue à 24 ans en 2016.
M. Jonathan Tabarah, ancien élève du Collège NDL ayant gradué en 2011, est quant à lui devenu le plus jeune conseiller municipal de Longueuil, lorsqu’il a été élu à 23 ans, et le plus jeune président d’un conseil de ville de l’histoire du Québec. Il est également le plus jeune président d’un organisme de transport en commun de l’histoire du Québec (RTL-Réseau de Transport de Longueuil).

Une rencontre assurément enrichissante et inspirante pour les élèves engagés du Collège Notre-Dame-de-Lourdes!

Succès pour la Soirée vins et fromages

Succès pour la Soirée vins et fromages

Un succès sans précédent pour la 14e Soirée vins et fromages du Collège

Le Fonds de dotation Le Chapeau du Collège Notre-Dame-de-Lourdes tenait le 16 avril, la 14e édition de sa populaire Soirée vins et fromages. Un événement sans précédent, puisque non seulement il s’agissait d’une soirée virtuelle, mais où plus de 30 000$ ont été amassés au profit du Chapeau, dont la mission vise à bonifier la qualité des services offerts aux élèves et un environnement propice à leur développement.

C’est sous le thème Entre nous que 210 convives ont participé à la dégustation virtuelle mettant en vedette des produits du Québec et du Canada. L’événement était à nouveau animé de main de maître par la renommée sommelière, Mme Élyse Lambert. Monsieur Max Dubois, le passionné et engagé fromager de l’Échoppe des fromages de Saint-Lambert, a lui aussi fait une apparition vidéo pour transmettre sa passion.

« Malgré les mesures qui empêchent la tenue de plusieurs activités, nous avons réussi à présenter une soirée rafraîchissante et divertissante, et à en faire en dépit de tout, une formidable réussite. C’est exceptionnel puisqu’il s’agit d’une somme record amassée dans le cadre de cet événement et ce sont tous les élèves de l’école qui en sortiront gagnants », mentionne madame Isabelle Marcotte, directrice générale du Collège Notre-Dame-de-Lourdes.

La direction du Collège Notre-Dame-de-Lourdes et les membres du Fonds de dotation Le Chapeau souhaitent remercier chaleureusement leurs généreux donateurs, particulièrement le partenaire « or » de l’événement, Duval Auto, ainsi que les invités qui, chaque année, font de cette soirée un événement incontournable.

(sur la photo : Mme Josée Blais, directrice des ressources matérielles et financières, et Mme Véronique Pelletier, technicienne aux ressources humaines et communications, toutes deux membres du comité organisateur de la Soirée, avec Mme Isabelle Marcotte, directrice générale du Collège.)

Chèque Soirée VF NDL 2021

Mini-tournoi de l’AlphaLab

Mini-tournoi de l’AlphaLab

Toute l’année, les membres de l’AlphaLab 8067, l’équipe de robotique compétitive du Collège, ont du poursuivre leurs activités à distance ou en petits groupes-bulles.

La semaine dernière, ils ont organisé et participé à un mini-tournoi local, histoire de garder la forme, dans une formule mettant en action les mini-robots des 4 équipes groupes bulles et celle des mentors. Le tournoi s’est inspiré du Bétabots Hommage 2020 développé par Robotique FIRST Québec, mais en ratio 1:2. L’événement a été diffusé en Facebook Live sur la page de l’AlphaLab8067.

C’est l’équipe Hermione, composée de Amélie Forget, Daphnée Douville et Noémie Morin, qui a remporté le tournoi avec son robot au mécanisme semblable à un tapis roulant : félicitations les filles!

On souligne à grands traits l’engagement et la résilience des membres de l’AlphaLab et on leur souhaite une formidable saison 2021-2022.
Nul doute qu’ils seront fin prêts pour tous les défis!

 

Mérite de l’engagement

Mérite de l’engagement

Les mesures restrictives en place depuis l’automne dernier ont rendu plus difficile la réalisation de l’important volet du service par l’action (bénévolat) pour nos élèves du PÉI. Toutefois, plusieurs ont réussi à faire preuve de créativité dans ce défi et à nous étonner par leurs belles initiatives.
Participation à la guignolée, aide à la bibliothèque, soutien à la collecte de sang NDL, fabrication de petits gâteaux pour remercier les travailleurs essentiels de leur ville, autant d’idées et d’actions toutes plus originales, mais aussi généreuses, les unes que les autres.

6 élèves ont ainsi reçu le Mérite de l’engagement à la suite de la première étape.
 

1re secondaire : Alice Fortin
2e secondaire : Emma Bernard
3e secondaire : Lisa Félix et Lauriane Morel
4e secondaire : Anne-Sophie Lachance
5e secondaire : Émilie Thibodeau
 
Félicitations à ces élèves pour leur implication, de même qu’à tous ceux qui ont trouvé une façon de s’impliquer et de participer à faire une différence dans leur communauté ou leur entourage, et ce, même en temps de pandémie.
 
(sur les photos, les récipiendaires, entourées de M. Daniel Chevalier, directeur des services aux élèves 1er cycle, et Mme Isabelle Marcotte, directrice générale)